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une disparition surnaturel L’aube du septième ouverture dévoila un ciel couleur d’acier. Le vent s’était calmé, donnant flotter dans l’air une étrange quiétude en arrière la tempête de la veille. Phil Voyance se réveilla le cœur lourd, repensant au dernier envoi de signal reçu d’une perspicace “C. ” qui prétendait varier dans la crique, aux environs de la chapelle. Il vérifia instantanément son téléphone : pas de moderne par sms, nul message en réflexion. Cette obligeance de le retour ne présageait rien de bon. Il se leva, s’habilla en précipitation et prit la direction du bureau de Nadège. Elle travaillait pour l’office du tourisme, mais ce matin, elle n’était pas à son poste de travail. Sa copain expliqua qu’elle était vivement en repos maladie pour la aurore. Sans mélancolique de périodes, Phil sonna chez elle. Nadège, pâle, lui ouvrit la porte. « Je ne me significations pas bien, Phil. J’ai de certaines vertiges, de certaines cauchemars. Je sais que c’est lié à cette chapelle, à bien ce chant… C’est notamment si on m’appelait. » Phil, inquiet, lui suggéra de se dire autrement, de trouver un médecin. « Ne reste pas seule, je peux provoquer tes poursuites si tu veux. » En quittant l’immeuble, il reçut un énoncé d’Hubert : « On a une interrogation. La police a retrouvé, ce matin, un sac à bien revers appartenant à une femme inconnue, échoué sur un bain de soleil, non loin de la chapelle. Ils aspirent à l’identifier. » Le sang de Phil ne fit qu’un tour. Était-ce celui de la intérieure “C. ” ? Il se précipita vers le commissariat de Clairmont-sur-Mer, dont la façade grise dominait une allée passante. Dans le hall, un profanes officier l’accueillit avec ombrage. « Vous êtes ? » Phil se présenta, expliquant qu’il avait écouté de certaines symboles inquiétants d’une féminitude se trouvant dans la crique. L’agent fronça les sourcils. « Nous n’avons aucune sorte de signalement immaculé. Vous avez son prénom complet ? » Phil dut avoir la compréhension qu’il ignorait tout d’elle, hormis son initiale et la teneur de ses messages. L’officier soupira. « Nous avons avec certitude un sac à bien verso contenant un téléphone cellulaire. Il est verrouillé, mais la carte d’identité semble appartenir à une bonne Clarisse B. On ignore ce qui lui est arrivé. Des patrouilles vont matraquer le thématique aujourd’hui. Vous auriez intérêt à nous retransmettre vos coordonnées. » Secoué, Phil répondit qu’il se tenait à bien leur pensée et sortit le cœur serré. Dans la foulée, il appela Hubert, qui confirma que le commissariat n’avait encore rien trouvé. « Clarisse n’est pas d’ici, d’après les mieux recoupements. Elle vivrait dans une cité voisine. Je t’enverrai un énoncé si j’en sais plus. » Phil erra après le long du port, la tête pleine d’images mauvaises. Était-ce une coïncidence si cette féminité avait disparu sérieuse après ce fait inespéré d'avoir autonyme le chant nocturne ? Et si cette inscriptions de corne n’en était pas incontestablement une ? Tentant de se varier les idées, il consulta ses textos de voyance par sms. Un sûr Raphaël, âgé d’une trentaine d’années, écrivait : « Phil, j’ai peur de l’engagement. Je suis avec une personne émérite, mais dès qu’il est sujet de jouir d' ensemble ou de disposition sur le long terme, je me défile. Pourquoi suis-je à savoir ça ? » Phil, malgré la déplaisir ambiante, tira ses cartes bancaires. Le Diable, la Lune et l’Amoureux : un triangle de pensées, d’attachement et de pulsions discordants. Il voyance par sms 24/24 lui répondit : « Raphaël, vous portez cependant une blessure d’abandon ou une crainte de enliser votre libre arbitre. Le Diable et la Lune suggèrent de certaines peurs intimes. L’Amoureux, lui, indique la sincérité de vos amitié. Peut-être devriez-vous concevoir une thérapie ou un dialogue plus réceptif avec votre partenaire. Fuir ne résoudra rien. » Dans l’après-midi, Phil alla contaminer visite à bien Nadège pour prêter concentration à son classe. Elle se trouvait allongée, les mine tirés, une couverture sur les épaules. « J’ai l’impression que des éléments nous échappe merveilleusement, Phil. J’ai rêvé de Clarisse cette nuit, sans même la sentir. Elle m’appelait à l’aide pendant les rochers. » Perturbé, Phil proposa de tirer six ou sept carte bleue ensemble. Nadège accepta, fébrile. Le remue-ménage révéla la Tour, la Roue de Fortune et la magicienne. Un mixtion violent d’événements soudains ( la Tour ), d’un circonlocution imprévu ( la Roue ) et d’un secret enfoui ( la magicienne ). La gorge serrée, Phil expliqua : « On doit s’attendre à un fléau. Mais la bateleuse suggère que des info sont dissimulées. Peut-être une personne dans la région sait-il plus de univers qu’il ne rêve de l’admettre. » Après l'obtention réconforté Nadège, Phil gagna la place du village, où se tenait un seul marché improvisé. Il espérait y croiser d’anciens canotiers ou des personnes âgées capables d’avoir entendu énoncer d’histoires similaires à bien celle de Clarisse. Il discuta avec six ou sept retraités, mais personne n’évoqua de disparition moderne attachée au chant de la avertisseur. L’un d’eux, un certain Robert, se souvenait bien d’Emile Gacquin et du mystère motivé par entouré sa disparition. « Les gens disaient qu’il avait toutefois obligatoire se suicider, ou qu’il s’était aventuré extrêmement autour des falaises. Mais certaines personnes affirmaient qu’il avait persisté “aspiré” par la mer. Va savoir la vérité… » La nuit tomba sur Clairmont-sur-Mer. Phil, sinistre, regagna son famille et répondit à neuf ou 10 dernières problèmes de voyance par sms. Mathilde, une mère amoureuse, craignait de dette enlever son métier faute de vie en crèche pour son enfant. Il l’encouragea à voir des moyens variables, comme la solidarité de voisins ou la faculté de gardes trouvés. Puis un autre envoi d'information, moins anodin, arriva de la part d’un numéro incognito. Il n’y avait qu’une phrase : « Ne choisissez plutôt la corne. Vous pourriez le regretter. » Le cœur de Phil s’emballa. Un avertissement ? Une menace ? Il tenta de évoquer, en vain, et son sang se glaça à bien l’idée que cette poursuite dépassait cependant ce qu’il pouvait avertir délaissé. Avait-il maquignonnage à un pléiade anonyme, aussitôt ce attraction en vie ? Après tout, la bateleuse dans le peine évoquait un vitrage gardé jalousement par quelques initiés. Qui aimerait conserver le silence ? Sur sa table de chevet, son sport de tarot semblait le jeter. Chaque carte avait pu prévenir les sensations de dizaines d'individus, mais cette fois, Phil avait l’impression de masser à bien un divertissement dangereux. Clarisse avait cependant payé un barème infaillible en enviable d’approcher la vérité. Avant d’éteindre la lumière, il envoya un énoncé à Hubert : « Fais contemplation à toi. Je crois qu’on nous surveille. » Puis il se coucha, l'invisible en expérience, se demandant si ce septième date n’était pas le prélude à bien de nouvelles disparitions.